Les mesures post Covid dans le secteur du tourisme n’ont pas épargné l’Espagne. La fermeture des frontières entre la France et l’Espagne entre Mars et Mai de l’année 2020 ont laissé un manque à gagner important dans le secteur du tourisme dans la péninsule ibérique ! A la réouverture des frontières de l’Espagne, peu de vacanciers ont osé s’aventurer en Espagne par crainte de ne plus pouvoir rentrer si une quarantaine devait s’imposer à nouveau.
La maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) est une maladie infectieuse due à un coronavirus découvert récemment.
La majorité des personnes atteintes de la COVID-19 ne ressentiront que des symptômes bénins ou modérés et guériront sans traitement particulier. Vous pouvez être infecté en respirant le virus, si vous êtes à proximité d’une personne malade, ou en touchant une surface contaminée puis vos yeux, votre nez ou votre bouche.
Les mesures post Covid dans le secteur du tourisme n’ont pas épargné l’Espagne en 2020 et on craint que 2021 suive le même chemin.
Les réservations pour le temps des vacances ou pour un week-end dans les chaines hôtelières et sur AirBnb se sont littéralement effondrées ! La clientèle étrangère a désertée l’Espagne et ses locations touristiques !
Les achats immobiliers en Espagne ont eux aussi souffert du manque d’acquéreurs. En effet impossible pour les futurs acheteurs francophone de se rendre en Espagne pour effectuer les visites des propriétés (appartement, maison , villa) en vente.
Les agences immobilières des plus grandes villes comme Rosas, Barcelone, Valencia, Malaga ou encore Madrid étaient fermées et les services d’administrations fiscales sont elles-aussi restées portes clauses. Donc impossible de faire visiter un bien à un acheteur potentiel !
Les propriétaires espagnols qui avaient leur propriété en gestion locative en courte, moyenne ou longue durée ont perdu beaucoup d’argent car les crédits et emprunts hypothécaires ont continué à courir chaque mois. Par manque de revenus locatifs et ne voyant pas la situation du COVID s’améliorer certains investisseurs ont du se résoudre à mettre leur bien immobilier en vente.
Avant cette crise sanitaire dans les grandes villes comme Barcelone ou Madrid on peinait à se loger et à trouver des locations à l’année. Aujourd’hui s’est devenu un peu plus facile, les loyers sont moins chers et la croissance de l’offre locative traditionnelle est à la hausse !
